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bienvenue chez les vétérans heureux



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judo
8 mai 2009

open master européen de tours 2009 - les combats

Pour info,

le master de Tours organisé par le JC Touraine aura lieu le samedi 17 et dimanche 18 avril 2010, pour plus de renseignements, tu cliques sur le lien suivant :


7ème Open Masters de Tours - 2010


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comme je l'ai déjà dit, je suis amateur, donc tu m'excuses cher visiteur mais je ne suis pas une pro des photos ni des vidéos, mais mon souhait c'est de vous faire partager ce bon moment que j'ai passé à l'open masters de tours !

ce dimanche, 169 combattants se rencontrèrent pour des combats où se mêlèrent amitiés et sympathie !

comme d'habitude dans les compétitions de judo, la manifestation commence par la présentation des arbitres et des commissaires sportifs dont je fais partie.


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vidéos des combats







































 

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17 septembre 2008

pense-bête

PENSE BETE POUR JUDOKA UN PEU ETOURDI !!

 

LE GROUPE DES TECHNIQUES DEBOUT :

 

- techniques de jambes : ASHI WAZA

- techniques de bras : TE WAZA

- techniques de hanches : KOSHI WAZA

 

LE GROUPE DES TECHNIQUES DE SACRIFICE :

où le pratiquant décide de sacrifier son équilibre pour faire chuter son adversaire

 

- techniques de sacrifice dans l’axe : MAE SUTEMI WAZA parmi lesquelles on retrouve la fameuse « planchette japonaise »

- techniques de sacrifice sur le côté : YOKO SUTEME WAZA

 

LE GROUPE DES TECHNIQUES AU SOL : NE WAZA

 

- les techniques d’immobilisation : OSAE-KOMI WAZA

- les techniques d’étranglement : SHIME-WAZA

- les techniques de clef : KANSETSU WAZA

 

Certains katas (formes) de judo nécessitent de pratiquer également les techniques de frappe (ATEMI WAZA).

 

On y retrouve :

- les coups de pied (GERI)

- les coups de poing (TSUKI)

- les coups du tranchant de la main (SHUTO)

 

 

KATAS


 

Ces katas représentent des exercices de style, de concentration particulièrement difficiles et constituent la source même des principes du judo. La bonne exécution de ces katas nécessite de ce fait de longues années de pratique pour permettre au judoka d’en saisir le sens profond.

 

Les plus connus sont :

 

- formes du kodokan

 

- NAGE NO KATA (forme des projections) composés de 5 groupes (te-waza, koshi-waza, ashi-waza, mae-sutemi waza, yoko-sutemi-waza)

 

- KATAME –NO-WAZA (forme des contrôles) composé de 3 groupes (osae-komi-waza, shime-waza, kansetsu-waza)

 

- KIME-NO-KATA (forme de la décision)

 

- GOSHIN-JITSU (no-kata) (forme de la défense de soi)

 

- JU-NO-KATA (forme de la souplesse)

 

- ITSUTSU-NO-KATA (forme des 5 principes)

 

- KOSHIKI-NO-KATA (forme des techniques anciennes)

 

- SEIRYOKU-ZENYO-KOKUMIN-TAIIKU-NO-KATA (forme de l’entraînement physique et de la prospérité mutuelle) ce kata contient le KIME-SHIKI (forme de la décision – à destination des femmes)

 

- JOSHI GOSHIN-HO

 

 

- Autres formes :

 

- GO-NO-SEN-NO-KATA (forme des contre-prises)

 

- NANATSU-NO-KATA (forme des sept techniques)

 

- NAGE-URA-NO-KATA (autre forme de contre prises crée par maître MIFUNE)

18 juillet 2008

histoire du judo

images

histoire du judo et du jujitsu


Les origines du Judo


Au VIe  siècle, une légende raconte l'histoire d'un vieux médecin japonais qui se promenant dans les campagnes enneigées, observa que, sous le poids de la neige accumulée, certaines branches des arbres cassaient, alors que les plus minces étant flexibles pliaient sous le fardeau pour s'en  décharger. Ce médecin comprit l'intérêt que l'on pouvait tirer de  cette "non-résistance" et trouva le principe fondamental du jiu-jutsu, céder pour vaincre.      

A l'époque de la féodalité japonaise, il existait une grande variété d'écoles       enseignant le combat sans armes. Ces écoles gardaient leurs méthodes et    leurs prises secrètes, consistant la plupart dans l'art d'attaquer les  points vitaux du corps par des coups frappés de la main ou des doigts,  d'autres projetaient les adversaires au sol ou encore brisaient les membres. Ces méthodes de combat s'appelaient alors jiu-jutsu, toride, tai-jutsu, yawara,...

Vers le XVIIIe   siècle, ces différents systèmes d'attaque et de défense furent     groupés sous le seul nom de jiu-jutsu. L'introduction au Japon des armes à feu porta un coup à ces écoles. Le jiu-jutsu tomba en décadence, le nombre des pratiquants diminua, à tel point que plusieurs écoles  fermèrent leur portes, faute d'élèves.


"Les katas sont l’éthique du Judo. Dans ceux-ci se trouve l’esprit du judo, sans lequel il est impossible d’apercevoir le but".

JIGORO KANO

images



"Les arts martiaux appartiennent à chaque peuple et chacun l'enrichit de son expérience"


      

     Jigoro Kano


En 1860, naquit Jigoro Kano, qui fut le fondateur du judo actuel.

Dans sa jeunesse, Jigoro Kano, déplorant sa faible constitution, décida d'entraîner parallèlement son esprit et son corps. Alors âgé de 20 ans, élève de l'Université impériale de Tokyo, il eut son premier contact avec le jiu-jutsu. Il s'entraîna sous la direction du professeur Fuduka, puis successivement avec d'autres maîtres. Cette activité fut profitable à son corps à tel point qu'il devint un jeune homme très vigoureux. Maître Kano étudia ainsi toutes les formes de combat sans armes. Il remarqua que ces méthodes, bien que souvent différentes par les moyens employés, visaient toutes au même but et se basaient sur le même principe : "Se servir au maximum de son énergie physique et mentale pour atteindre un but défini". Il composa alors une méthode de combat   faite des meilleures prises de chaque école, supprima les plus dangereuses et celles néfastes au développement harmonieux du corps et y ajouta des techniques personnelles, fruit de son travail incessant. Il illustra et différencia sa méthode de l'ancienne en insistant sur le  fait que la valeur du principe n'était pas seulement valable pour le  combat mais qu'il devait l'être pour la vie de chaque jour.

Le Maître Kano donna à son système le nom de judo qui, par la signification même du mot, marqua la différence avec le jiu-jutsu. Tous deux formés du mot japonais jiu ou ju, se traduisant par céder ou souplesse ; jiutsu voulant dire art ou pratique, et do, "la voie" dans le sens de la méthode ou du principe.

      

      

Jigoro Kano (1860-1938)

      

    Le judo n'était donc plus uniquement un art de combattre mais aussi une doctrine applicable au corps comme à l'esprit. Le judo devint alors un véritable   sport, donnant à ses adeptes le moyen de s'entraîner sous une forme se  rapprochant le plus d'un combat réel; contrairement au jiu-jutsu qui était uniquement une répétition de prises et coups, chacun des partenaires sachant à l'avance la façon d'attaquer et de se défendre.

      

    Le jiu-jutsu ne permettait pas de pratique la compétition.

 

     Le Maître Jigoro Kano fonda, en 1882, à Tokyo, une école pour ce sport. Il lui donna le   nom de Kodokan et y enseigna le judo tel qu'il l'avait conçu. Après beaucoup d'efforts, il supprima presque complètement le nom de jiu-jutsu  et les différentes écoles se rallièrent à son enseignement. De nombreux professeurs furent formés à cette école et le Japon, le monde  entier par après, connurent les bienfaits du Judo.


 

     Arrivé du  Judo en Europe


Le jiu-jutsu fut pratiqué dans plusieurs pays d'Europe aux environs de 1900. En France, il fait son apparition en 1904, et la presse sportive fait un éloge de cet art mystérieux qui consiste à combattre et à vaincre la force brutale. A ce moment, plusieurs professeurs japonais donnaient des cours de jiu-jitsu à Londres. Au mois d'août 1905, une école japonaise de jiu-jitsu est fondée à Paris. Le professeur de culture physique Edmond Desbonnet en est le principal admirateur. Le japonais Miyakie, venu de Londres, enseigne dans cette école une méthode se self-défenseself-défense se rapprochant déjà du judo. En Belgique, une première démonstration est donnée à Gand par des instructeurs de Paris.

             

     Pourtant, malgré bien des efforts, le judo ne parvenait pas à se frayer un chemin parmi les autres sports de combat. Le succès du judo dépendant de son enseignement, notre esprit occidental ne pouvait s'adapter à la méthode d'origine.

 

Les termes  japonais, souvent compliqués à retenir, la classification des       mouvements, contraire à nos principes, ne pouvaient nullement encourager les débutants à poursuivre leurs entraînement.

      

     Mikinosuke   Kawaishi

En 1936 arrivait à Paris un jeune étudiant japonais, M. Kawashi, 4e Dan du Kodokan. Il fonda un club qui s'organisa  doucement et chercha à en fonder d'autres en France.

      

      

Mikinosuke Kawaishi (1899-1969)

      

    Il ne rencontra aucun succès puisque, en 1941, il n'y avait encore que quatre clubs en France. Au cours de ses nombreux voyages dans divers pays, le Maître Kawaishi put constater que le judo que l'on enseignait ne s'adaptait pas au milieu et semblait dépaysé, nulle part, le Judo ne rencontrait le succès auquel il avait droit.

      

     Son expérience en Europe lui donna l'idée de créer une méthode d'enseignement répondant aux nécessités du milieu. Cette méthode, destinée aux européens, est   contenue et enseignée dans plusieurs pays sous le nom de "Méthode Kawaishi". Il n'y a pourtant aucunes différences fondamentale avec le Judo pratiqué au Japon, le maître Kawaishi étant lui-même gradé 7e Dan du Kodokan.

      

   Les seules différences ont pour but de faciliter l'entraînement des débutants. En supprimant   l'obligation d'apprendre les noms japonais de chaque prise, en classant les mouvement par catégorie pour mieux les retenir, le Maître Kawaishi permit à des milliers d'adeptes de connaître les joies saines du Judo.



      

Méthode Kawaishi


      

 La méthode de  Judo mise au point par Maître Kawaishi divise les techniques de Judo en  deux parties fondamentales : Technique du Judo debout et Technique du Judo au sol

      

      1) Technique  du Judo debout

      

             Les techniques du Judo debout sont constituées uniquement de projection (Nage Waza). Ces projections sont réparties en plusieurs catégories :

 

                - Lancements de jambe (Ashi Waza) : 15 mouvements

 

                - Lancements de hanche (Koshi Waza) : 15 mouvements

 

                - Lancements d'épaule (Kata Waza) : 6 mouvements

 

                - Lancements de bras (Te Waza) : 9 mouvements

 

                - Sacrifices (Sutemi Waza) : 15 mouvements

      

      2) Techniques  du Judo au sol

      

     Les Techniques du Judo au sol sont divisées en plusieurs catégories :

 

                - Immobilisations (Katame Waza) : 17 mouvements

 

                - Strangulations (Shime Waza) : 29 mouvements répartis en 2 séries

      

                - Luxations des bras (Ude KwantsetsuKwantsetsu Waza) : 25 mouvements répartis en 5 positions

 

                - Luxations des jambes (Ashi KwansetsuKwansetsu Waza) : 9 mouvements

 

                - Luxations du cou (Kubi KwansetsuKwansetsu Waza) : 6 mouvements

18 juillet 2008

maître jigoro kano


 




un des premiers katas

Le but final du Judo est d'inculquer à l'homme une attitude de respect pour le principe de l'efficacité maximum, du bien-être, de la prospérité mutuelle et de le conduire à observer ces principes. (Jigoro kano)

galerie de photo de jigoro kano

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l'âge mûr

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la famille kano

temple eishoji
lieu de naissance du
judo

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               kodokan actuel                                                                        

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les leçons de kano

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kano et 7 maitres du jujitsu


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jigoro kano et les femmes judokas

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jigoro kano à new york

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avec roosevelt


18 juillet 2008

le salut

LE SALUT : un geste important


ritsurei
ritzurei


zarei
zarei


Le salut est la première leçon de judo qui est enseignée dans   un dojo après le nouage de la ceinture.

Il tire ses origines en  Extrême Orient et montre le respect du a autrui comme dans une   cérémonie.

Il existe deux façon de saluer son adversaire :

Le  Ritzurei qui correspond au salut simple et le Zareil qui est plus  cérémonieux.

Le Ritzurei se fait en étant en position debout. Les bras doivent rester le long du corps et les jambes doivent  être bien droites. Il faut s'incliner vers l'avant en gardant  le tronc droit. Après avoir marqué un temps d'arrêt il faut  revenir a sa position initiale.

 

Le Zareil lui est plus compliqué et se fait en étant agenouillé. Il faut d'abord se mettre debout  en posant un genou au sol, puis poser le deuxième genou. On s'assoit  sur les talons en gardant bien le dos droit. Les mains doivent  être posées a plat sur le haut des cuisses. Après une courte pose  il faut mettre les mains à plat sur le sol à quelques centimètres  des genoux. La paume de la main doit être mise vers l'intérieur.  On incline le tronc en avant et on fléchis les bras pour ensuite   se redresser. Le salut doit être fait le plus calmement possible  en guise de respect. La tenue doit être parfaitement ajustée.              

Le Ritzurei s'effectue quand on rentre dans le dojo.

Le dojo est un endroit pour étudier le judo il faut donc  être respectueux envers cet endroit où se retrouvent les élèves et le maître.

Ce salut se fait également lors des match d'entraînement.  On le fait au début et a la fin du combat. C'est une preuve de  respect et de remerciement.

Le Zarei se pratique lors des cours   collectifs. C'est un témoignage de consentement mutuel entre les élèves et le maître. Le judoka doit être respectueux envers  ses partenaires ainsi que son professeur. Il faut donc toujours  garder une attitude sérieuse et garder le silence le plus possible.

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