un week end très chargé au dojo de Vendôme dans le loir et cher ! Vendôme accueillait trois compétitions régionales !
ce samedi matin les cadets et les cadettes étaient plus de 170 pour se retrouver pour le dernier grand prix, cette compétition leur permettant de marquer des points pour l'obtention de leur ceinture noire
puis l'après midi, le championnat régional des couleurs et le lendemain, le championnat individuel sénior 3ème div.
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nous avons accompagné ma copine Stéphanie qui tirait pour les couleurs dans la catégorie bleue/marron -63kg, on en a profité pour supporter benoit, rudy et jordan qui faisaient aussi les couleurs en catégorie bleue/marron.
Stéphanie a fait 3 combats, gagné 1, voici une vidéo de son 1er combat qu'elle a gagné mais où elle s'est fait mal au nez ce qui l'a gêné pour la suite de la compétition
un petit diaporama de la bande de judokas du beffroi à Vendôme !
"Stage qui s'est très bien passé, cette année nous avions encore un peu tous les niveaux, du débutant (ceinture jaune) aux compétiteurs avec 3 jeunes du groupe France. Le travail fut sérieux, de la prépa physique aux randoris en passant par une grosse part de technique. En dehors du tatami, encore une très bonne ambiance avec le pôt de fin de journée, les repas tous ensemble et notamment la soirée Moules/frites et aussi nous avons partagé d'autres activités comme un initiation à l'escrime et du char à voile..."(Cyril Juffroy)
comme toujours depuis 4 années, Cyril Juffroy, Olivier D'Amario et Eric Frémont organisent le stage de jujitsu à Leucate à côté de Perpignan.
dojo de leucate
dojo de leucate
Cela fait deux ans que nous le faisons, et n'avons jamais été déçu ! cette année, à cause de la blessure de Guy, nous ne ferons pas ce stage mais ce n'est que partie remise pour l'année prochaine !
stage leucate 2008
dans une ambiance amicale et sympathique, nous nous retrouvons, jujitsukas de toute la France pour une semaine de sport adapté à tous, de la ceinture blanche au plus gradé, du plus jeune au plus âgé ! compétiteur ou non !
pour celui qui le souhaite, en plus du jujitsu, des activités annexes lui sont proposées comme du char à voile, tennis, musculation, sans oublier pour tous la fameuse soirée moule !
un encadrement compétent et professionnel
un programme adapté à tous
en un mot, ce qui résume ce stage, c'est amitié, professionnalisme, compétence, et amusement !
ce dimanche 17 mai 2009, Guy et moi avons été faire un entraînement départemental de jujitsu à Saran, àenviron 125 kms de Tours, dans la banlieue d'Orléans
Le dojo a été inauguré en 1999 par Marie-Georges Buffet, ministre des Sports.
L’accès à la salle est sécurisé par une carte magnétique personnelle programmée.
Le dojo comprend 4 aires de combats sur un tatamis de 860 m² avec vestiaires douches, Une salle de réunion et bureaux, Une salle de musculation de 150 m² avec vestiaires et douches ainsi qu’un sauna.
l'entraînement était dirigé par Eric Frémont, 4ème dan, BE2 de judo et jujitsu
Axelle, vice championne du monde jujitsu, moi et Eric Frémont
c'est dans une ambiance sympathique et amicale que le club de Saran a reçu des jujitsukas du Loiret mais aussi du Cher, du Loire et Cher et nous de l'Indre et Loire. nous étions plus de quarante à nous retrouver dés 09 heures 30 sur le tapis pour un entraînement de qualité.
Guy et moi avons retrouvé pas mal de copains de compétition et d'entraînement car nous allons souvent dans le Loiret où je trouve toujours les stages supers intéressants ! je ne connaissais pas du tout le dojo de Saran et je n'ai pas été déçue, très beau dojo, 4 belles surfaces, et un tapis ni trop dur ni trop mou !
pendant cet entraînement, nous avons travaillé les déplacements, les atémis, des projections comme kokyu nage....
ce fut un stage abordable par tous, du plus gradé au moins gradé, ce n'était pas comme parfois on le voit un cours en plus de nos cours, ou un stage trop technique, trop difficile, mais quand on sait que c'est Éric Fremont ou Lætitia Deloris les instructeurs, on sait qu'on aura un stage de qualité !
puis après cet entraînement nous nous sommes tous retrouvés pour le pot de l'amitié !
ce samedi 30 mai, le Comité de judo d'Indre et Loire organisait une formation à l'utilisation du défibrillateur semi automatique à la maison des sports de Parcay Meslay
nous étions 20 participants, représentants les clubs de tout le département.
ce fut très intéressant et instructif, bravo au comité pour cette initiative
mais un défibrillateur (qui pour l'instant n'est pas encore obligatoire) à 1 500 euros pièce va t il freiner certains clubs, c'est à voir.
PETIT TOPO
le cœur, appelé aussi myocarde, est un gros muscle, chargé de se contracter afin d'amener à tous les organes, et notamment au cerveau et au cœur lui-même, le sang oxygéné après son passage par les poumons. il se contracte de façon régulière grâce à l'activité électrique des cellules musculaires cardiaques. lorsque le cœur manque d'oxygène, les cellules musculaires souffrent et ne se contractent plus en phase : leur activité devient donc anarchique - le cœur tremble et vibre sur lui-même et n'est plus capable d'amener de façon efficace du sang aux organes vitaux c'est la FIBRILLATION VENTRICULAIRE
la seule façon d'interrompre une fibrillation ventriculaire est d'administrer au cœur un choc électrique externe c'est la défibrillation.
en cas d'absence de défibrillation, le tracé devient plat, la personne va décéder.
POURQUOI RÉAGIR VITE ?
- parce qu'un cerveau privé d'oxygène présente des lésions irréversibles après 3 mn
- parce qu'après 8 à 10 mn d'arrêts cardiaques, les chances de survie sont quasi nulles si aucun geste n'est effectué
- parce que plus tôt l'alerte est donnée, plus vite les secours seront là !
QUE FAIRE ?
vérifier la conscience de la personne en lui demandant si elle nous entends ou si elle peut nous serrer la main
vérifier si il y a respiration, se pencher sur la victime, l'oreille et la joue au dessus de la bouche et du nez et regarder si le ventre ou la poitrine se soulève (cette recherche ne dure pas plus de 10 secondes)
et demander qu'on nous amène un défibrillateur et qu'on appelle une équipe de secours (le 15), indiquer précisément l'adresse où les secours doivent se rendre, faire préciser dans le message d'alerte qu'une victime (sexe, âge) est en arrêt respiratoire, que des manœuvres de réanimation sont en cours.
desserrer ou dégrafer rapidement tout ce qui peut gêner la ventilation (cravate, col, ceinture, bouton de pantalon)
basculer doucement la tête en arrière et élever le menton, car chez une victime inconsciente , sa langue peut obstruer les voies aériennes
ouvrir la bouche de la victime avec la main qui tient le menton
retirer les corps étrangers visibles à l'intérieur de la bouche (dentiers décrochés sans toucher celui qui est en place)
ouvrir la bouche de la victime
retirer les corps étrangers
réaliser une ventilation artificielle
maintenir la tête en arrière et le menton en avant
pincer la partie souple du nez entre le pouce et l'index de la main qui maintient le menton
ouvrir la bouche de la victime en maintenant le menton vers l'avant
placer les lèvres autour de la bouche de la victime
souffler progressivement dans la bouche de la victime
prendre une inspiration et renouveler la séquence pour obtenir deux insufflations efficaces
faire 2 insufflations et 30 massages
position des mains pour le massage
les coudes ne doivent pas être fléchis
prendre le défibrillateur près de soi,
mettre en marche l'appareil,
préparer la victime et connecter les électrodes comme indiqué dessous,
délivrer le choc, en écartant le public
écouter les instructions de l'appareil,
procéder au massage cardiaque jusqu'à l'arrivée des secours
Vainqueur à Tallin (EST) du premier World Cup de sa carrière, Nicolas Brisson revient sur sa performance. Interview.
Bonjour Nicolas, est-ce que tu peux nous décrire ton parcours victorieux à Tallinn, ce week-end ?
Au premier tour je prends un Finlandais, je marque yuko sur kataguruma puis ippon sur uchimata, en deux minutes. Cette première victoire, même s’il s’agissait d’un adversaire sans référence international, m’a fait du bien, elle m’a rassuré après deux compétitions où je venais de me faire sortir au premier tour (Moscou et championnats d’Europe). Ensuite je rencontre l’Ukrainien Grekov, un très bon judoka, très expérimenté et triple champion d’Europe. Je l’avais déjà rencontré quatre fois et il m’avait battu à chaque fois. Je me suis tout de suite senti bien sur les mains et j’ai fait attention à ne pas me livrer sur o-soto-gari à gauche car je sentais qu’il m’attendait là-dessus. Je marque un premier wazari sur morote à droite, une technique que je ne fais jamais mais que j’avais travaillé cette semaine à l’entraînement, puis je marque un deuxième wazari sur koshi-guruma. En demi-finale, je rencontre Bagnoli, un Italien pas très connu, qui venait de gagner Tunis en remportant tous ses combats par ippon. Gaucher comme moi, il ne m’a pas trop gêné physiquement mais je me méfiais de sa vivacité. Je prend shido, puis yuko sur sumi-gaeshi, avant de marquer un premier wazari sur kataguruma, puis je conclut le combat en le contrant en o-soto sur o-soto. En finale, je me retrouve face à Iliadis qui m’avait déjà battu deux fois, mais à chaque fois dans les derniers instants du combat. Dès le début je l’ai trouvé encore plus puissant qu’avant. Dès que je montais ma main gauche, il parvenait à la descendre et je n’ai jamais pu m’installer. Du coup j’ai essayé de lancer à une main, mais sans être efficace et je me suis fait pénaliser. A 50 secondes de la fin, après qu’il ait une nouvelle fois repoussé ma main gauche, je lance ko-soto-gari en reprise de garde, et je marque ippon. J’étais vraiment très, très content. C’est la compétition que l’on rêve de faire, des ippons sur adversaires forts, et au bout une victoire dans un World Cup dont le niveau valait bien un Grand Prix voir un Grand Chelem.
Qu’est-ce qui a changé par rapport à ces dernières semaines et ces derniers mois durant lesquels tu as parfois eu du mal à t’exprimer au niveau international ?
J’ai une année très chargée avec mon stage de fin d’études depuis six mois (ndlr: Nicolas est école de commerce), le judo et, dans les semaines à venir, la recherche d’un emploi compatible avec le haut-niveau. Après Moscou, je me suis accordé du repos, j’ai allégé mon programme d’entraînement. J’ai également modifié la façon de descendre au poids, maintenant je descends à 89 kg deux jours avant la compétition, ainsi la veille je peux manger correctement et me libérer de la contrainte psychologique engendrée par le régime.
Combien de poids perds-tu pour chaque compétition ?
Je perds entre 3 et 4 kilos. Cela n’a bien sûr rien de comparable avec les moins de 60 kg qui perdent 5-6 kg, mais cela me demande tout de même des efforts car je suis longiligne et je n’ai pas beaucoup de gras à perdre. Et puis la répétition régulière des privations est toujours une contrainte, surtout mentalement.
Les athlètes présents à Tallinn avaient été envoyés par leurs clubs. Est-ce que les clubs avaient également envoyé des coachs ?
Nous étions trois athlètes de l’ACBB, et il y avait deux combattants du Lagardère Paris Racing, deux de Nice Judo, et un de Sartrouville, mais seule l’ACBB avait envoyé un coach, Stéphane Brégeon. L’ambiance entre nous tous a été excellente, nous nous sommes beaucoup parlés, soutenus, encouragés. C’était très différent de l’ambiance qu’il y a avec l’équipe de France ou chacun à plus tendance à rester dans son coin. Les entraîneurs de l’Equipe de France nous mettent une pression supplémentaire qui, à mon avis n’a pas lieu d’être. Là c’était plus détendu et ça a bien marché. Je ne me rappelle pas que les Français aient réussi un aussi bon résultat en tournoi (4 or, 2 argent) au cours des dernières années.
Quel est ton programme pour les prochaines semaines ?
Je suis un peu surpris de n’avoir été retenu ni pour Rio, ni pour les Jeux Méditerranéens, ni pour les Universiades. Faute de compétition je vais me consacrer aux stages, il y en a un juillet, puis la préparation pour les championnats du monde au mois d’août. Je vais attendre de voir si je suis sélectionné pour les mondes, sachant que Matthieu Dafreville est out pour 6 ou 7 mois, car il vient juste de se faire opérer.
Judoka 1e division et étudiant en doctorat, le parcours de Mickael Hilpron a de quoi susciter l’intérêt. Pour alljudo il évoque le sujet de son doctorat, étroitement lié à son séjour à Tenri (Japon).
Bonjour Mickael, est-ce que tu peux nous retracer ton parcours scolaire et sportif ?
J’ai passé le bac à la Martinique en 2000, avant de rejoindre Orléans ou j’ai intégré une filière Staps. Durant mon Master j’ai eu l’occasion, en 2005, de partir un an à Tenri au Japon, où je me suis entraîné, et ou j’ai étudié le système et le fonctionnement du judo japonais. A mon retour en France j’ai terminé mon Master et depuis mars 2007, je suis en Doctorat. Concernant le judo, j’ai été 3e des championnats de France Universitaires en 2002, 2004 et 2006. Depuis 2007 je me suis qualifié trois fois de suite pour les championnats de France 1e division en moins de 73 kg.
Quel est le sujet de ton doctorat ?
J’utilise la méthode ethnographique pour mener une analyse comparative entre la méthode japonaise et de la méthode française. Il est très important de préciser que le but n’est pas de hiérarchiser, mais bien de comparer en faisant ressortir les différences et les points communs.
Justement que ressort-il de cette comparaison entre le système français et le système japonais ?
Tout d’abord, les Japonais fonctionnent avec une culture de groupe. A Tenri, le premier objectif c’est d’être champion du Japon par équipes, puis de former des champions en individuel. Former des champions n’est qu’une conséquence de l’objectif de groupe. Les professeurs comme Shinohara, Fuji, Hosokawa, qui sont tous d’anciens champions formés à Tenri, sont imprégnés de cette culture. En France, contrairement au Japon, nous fonctionnons avec un système pyramidal, et la démarche est individuelle. Chaque judoka veut avoir des résultats pour rentrer en Pôle, puis à l’Inef, puis à l’Insep.
Et concernant l’entraînement ?
A Tenri l’entraînement est toujours le même, à savoir 90 minutes de randori sans pause. Cela peut être 15x6’ ou 13x7’, et parfois les temps de randoris sont libres, ainsi on peut rester une heure à faire randori avec le même partenaire. Cela engendre un rythme de combat plus lent, mais Il y a énormément d’intensité car le combat est moins haché, avec moins de bagarre sur les mains. En France les temps de combats sont plus courts, avec de la récupération, et à l’approche de la compétition, on les raccourci encore pour augmenter l’intensité. En ce qui concerne le travail physique (footing, musculation) c’est assez semblable. Les Japonais se sont beaucoup inspirés de ce que faisaient les Européens dans ce domaine.
Tu n’as pas évoqué le travail technique ?
Au Japon, il n’y a pas de travail technique tel qu’on le conçoit avec des explications et des démonstrations. Ils font uchikomi et randori. Un jour à Tenri, j’ai demandé à Hosokawa Sensei de m’apprendre o-soto-gari. Il m’a envoyé faire randori avec un combattant qui m’a projeté trois-quatre fois sur o-soto-gari avec des préparations différentes. En revanche, lorsqu’ils font uchikomi c’est un vrai travail technique : la précision et la dimension esthétique du mouvement sont plus importantes que la vitesse, ils sont très relâchés, et on sent qu’ils explosent à chaque répétition. En France le travail d’uchikomi s’apparente plus à travail musculaire, ou les athlètes sont toujours en contraction.
As-tu pu faire un comparatif au niveau des enfants ?
Non malheureusement je n’ai pas pu le faire, même si j’ai glané quelques informations. Apparemment ils n’ont pas d’approche particulière pour les enfants, et la notion même de pédagogie leur est étrangère.
A l’issue de ta thèse que comptes-tu faire ?
Je souhaite retourner à la Martinique, puis je verrais en fonction des opportunités. L’un des projets qui me tient à cœur serait d’ouvrir mon propre club, pour enseigner le judo d’une manière différente de ce qui existe déjà, pour développer mes propres méthodes.
Ton avenir c’est plutôt le judo ou la recherche ?
Le judo est une recherche, c’est ce qu’exprime le ‘do’ de judo. Au Japon Hosokawa Sensei ne porte pas la ceinture rouge et blanche car il dit se sentir élève. Pour lui il y a trois stades dans le judo : faire avec les autres, c’est l’apprentissage, faire contre les autres, c’est la compétition, et faire pour les autres c’est l’enseignement. Mon objectif est de suivre cette évolution.
Mickael tient à remercier le Conseil Régional de la Martinique pour le soutien qu'il lui prodigue à travers la Bourse Doctorale Régionale qui lui a été accordée.
A l’occasion de la conférence de presse qui faisait suite à la venue de Teddy Riner au Levallois SC, les différents protagonistes ont commenté le transfert du champion du monde.
Patrick Balkany (député-maire de Levallois) : « Il faut que Teddy sache qu’ici il rejoint une famille. Généralement, les champions qui nous rejoignent restent au club, même après leur carrière. On ne fait pas un coup, on le soutiendra pendant 4 ans (ndlr : c’est la durée de son contrat) et il pourra compter sur nous tout au long de sa vie. Teddy est une icône du sport français, nous souhaitons qu’il soit le leader de l’équipe de France au Jeux de 2010, voir même son porte-drapeau. »
Jean-Pierre Aubry (Président du LSC omnisport) : « Nous avons commencé les négociations il y a deux mois après que Teddy soit venu nous voir. Nous en avons immédiatement informé les dirigeants du Lagardère Paris Racing. Samedi dernier, dès que Teddy avait donné son accord, j’ai personnellement appelé un représentant du Lagardère Paris Racing. Je tiens à le souligner car cela n’a pas toujours été le cas dans le sens inverse… »
Teddy, dans quel état d’esprit étais-tu au moment de changer de club. As-tu hésité ? Oui j’ai un peu hésité, mais j’ai beaucoup de copains à Levallois et je vois que pour eux ça se passe bien, c’est ce qui m’a convaincu.
Qu’est-ce qui n’allait pas au Lagardère Paris Racing ? Ici j’ai mes copains et il y a plus de monde sur le tapis. Ensuite je les voyais toujours gagner les championnats de France par équipes et ça aussi ça m’a donné envi. Si on pouvait gagner la Coupe d’Europe des clubs se serait vraiment bien.
L’entraînement et la vie d’un judoka passent en grande partie par l’équipe de France. Qu’est-ce qu’on vient chercher dans un club ? Le club c’est un plus, on vient chercher un groupe, une ambiance et un regard différent au niveau du coach et de l’entraînement.
Dans quel état d’esprit abordes-tu ta prochaine compétition, les Jeux Méditerranéens ? Je suis à cours d’entraînement car j’ai passé le bac et ça m’a pris du temps. Ce sera donc une compétition de reprise. L’idée c’est de se remettre en mode compétition, pour voir ce qu’il faut travailler dans la perspective des championnats du monde. A priori il y a aura certainement des manques au niveau physique et technique, mais j’y vais quand même pour gagner.
VISITE CHEZ NOS AMIS JUDOKAS A WITRY LES REIMS POUR UN WEEK END BIEN SYMPATHIQUE
l'année dernière, le club de Witry les Reims était invité à Tours par mon club l'ES Beffroi. Cette année, nous rendions visite à nos amis de Champagne !
le programme était le suivant :
- accueil
- entraînement
- vin d'honneur
- accueil dans les familles qui nous ont hébergé
- soirée dancing
- dimanche, accrobranche
- pique nique
- départ à Tours
nous avons été hébergé Guy et moi dans une famille super sympa (Sylvia, Ronny et leurs enfants Sandra et Brian), ils ont eu la gentillesse de nous offrir un cadeau de bienvenue, des spécialités de Reims, nous les remercions vivement pour nous avoir si bien accueillis
les spécialités que notre famille d'accueil nous a offert
Tout le monde avait rendez vous à 06 heures précises au dojo du beffroi, pour le départ en bus vers witry les reims situé à presque 400 kms de Tours
nous étions plus d'une trentaine.
installation dans le bus
Sandrine et Thierry, les parents de Cristal
Guy et moi dans le bus
tout le monde est dans le bus, c'est le départ !
après quelques heures de route, nous avons fait une pause bien méritée sur l'autoroute
un café ça fait du bien !
une pause café, pause casse croûte
on se dégourdit les jambes !
toujours dans la convivialité !
après 06 heures de route, nous sommes arrivés à Witry, accueillis par nos amis champenois, nous avons laissé nos affaires au dojo et nous avons pique niqué dans l'herbe derrière le gymnase.
après un repos bien mérité et un café réconfortant, nous nous sommes mis en tenu et avons fait un entraînement bien sympathique avec les licenciés du judo club de Witry.
nous avons travaillé uchi mata, o uchi gari, ko uchi gari et o soto gari
en attente du commencement de l'entraînement
Alicia et Éloïse du Beffroi
rapprochement entre le beffroi et witry les reims !
les jeunes du beffroi
après quelques mots de bienvenue, nous voilà tous réunis pour le salut traditionnel dans une ambiance très sympathique
voici un diaporama de l'entraînement en commun
entre les exercices une petite pause est bien agréable !
en cadeau de bienvenue, nos hôtes nous ont remis un superbe tee shirt en souvenir de cette rencontre amicale !
pour voir notre soirée dancing et l'accrobranche à Reims, tu cliques sur le lien suivant :
NOTRE VISITE CHEZ NOS AMIS JUDOKAS DE WITRY LES REIMS (...suite et fin)
après l'entrainement en commun (dont tu peux suivre les photos en cliquant sur le lien suivant :entrainement witry les reims), j'ai oublié d'ajouter que pour ceux qui le souhaitaient, ils pouvaient faire une visite de cave ou faire l'entraînement.
après une bonne douche, nous nous sommes tous retrouvés pour un vin d'honneur, au champagne bien sûr, puis l'entraineur de witry, Marc, nous a réparti dans les familles, où nous avons pu nous rafraîchir, poser nos affaires et faire connaissance autour d'un apéritif au champagne.
le vin d'honneur devant le dojo
après une petit halte dans nos familles, nous nous sommes rendus au dancing restaurant La Belle Époque pas loin de Reims, pour nous retrouver pour une excellente soirée dansante.
le repas était succulent, apéritif au champagne, tourte forestière, veau, fromage et gâteau et café,
le superbe gâteau, dessus marqué "vive le judo", était succulent !
au son d'un orchestre, entrecoupé de danses modernes et plus anciennes pour plaire à tous ! j'en garderais longtemps un excellent souvenir !
au Beffroi, on ne fait pas que du judo, on sait aussi danser !!!
après avoir bien dansé, une pause à table nous a fait du bien !
nous attendons l'apéritif
Sylvia, la personne qui nous a hébergé si gentillement et moi
après une bonne nuit récupératrice, nous nous sommes tous retrouvés le lendemain sur le site de l'accrobranche pour une promenade en hauteur
nous attendons les retardataires
tout le monde est là, on y va !
l'accrobranche
puis nous nous sommes tous retrouvés autour d'un pique nique convivial, avec un petit peu de champagne !
diaporama de l'accrobranche et du pique nique
après ce superbe week end convivial et amical, il faut reprendre le chemin du retour, on s'est tous promis de se revoir sur un tapis bien sûr !