la lutte féminine
LA LUTTE FÉMININE
Le plus jeune et non le moins important style de lutte : la lutte féminine
La lutte féminine ressemble, à quelques différences près, à la lutte libre.
En effet, certaines prises utilisées en lutte libre sont interdites en lutte féminine, notamment les clefs doubles (double Nelson), jugées trop dangereuses pour les femmes.
Ayant fait ses premiers pas dans les pays scandinaves et en France dans les années 1980, la lutte libre féminine gagne de plus en plus de terrain dans presque tous les pays du monde.
Un championnat du monde féminin fut créé dans les années 1980, et le premier championnat du monde dans cette discipline se tint à Lorenskog Norvège en 1987.
La lutte féminine a fait pour la première fois son entrée au programme olympique à l’occasion des Jeux Olympiques d’Athènes de 2004.
De plus en plus de pays présentent chaque année une équipe de lutteuses à ces championnats du monde, mais quelques uns d’entre eux se démarquent du lot, entre autres la Chine, le Japon, la Russie, la Biélorussie, les Etats-Unis et l’Allemagne, selon le classement de la dernière Coupe du Monde de lutte féminine.
Mais si l’on se réfère au niveau individuel, certains pays ont vu naître de grandes compétitrices en lutte féminin, entre autres le Canada, la France, la Suède ou la Pologne
Irini Merlini, une athlète Ukrainienne est sacrée championne olympique de lutte féminine lors des jeux olympiques de 2004. Elle détient également le plus impressionnant palmarès des médaillées des quatres catégories existantes en lutte féminine. Elle a entre autres remporté trois championnats du monde dans la catégorie des 48 kg.